Ce que l’avenir nous réserve
Les répercussions de la pandémie se feront sentir pendant un certain temps. Par conséquent, la Commission aura comme priorité au cours de la prochaine année de veiller à ce que ses processus décisionnels demeurent sécuritaires, transparents, accessibles et équitables pour tous les participants.
Au cours des prochains mois, la Commission s’efforcera d’améliorer son fonctionnement conformément aux priorités stratégiques de la Régie. Elle mettra ainsi en œuvre des projets et des initiatives visant à parfaire ses processus décisionnels, ses rapports de décision et de recommandation, ainsi que les processus, systèmes et outils qui lui permettent de remplir son mandat. En tant que participante au cheminement de la Régie vers la Réconciliation, la Commission continuera de chercher des moyens respectueux et efficaces de prendre en considération la présentation orale du savoir autochtone dans ses instances.
Le bureau du secrétaire de la Commission fournit un soutien logistique et administratif à celle-ci. Le bureau a récemment été restructuré pour permettre à la Commission de progresser dans les secteurs prioritaires qui, sans être liés à des dossiers décisionnels précis, sont de nature systémique et ont une incidence sur la qualité des processus décisionnels. La Commission s’attend à ce que cette restructuration se traduise par un soutien accru à son endroit et continue de favoriser la collaboration et l’harmonisation avec le reste de l’organisation.
Au cours de la prochaine année, la Commission poursuivra son engagement envers l’excellence en matière de gouvernance. La structure de gouvernance de la Régie, qui est constituée d’un conseil d’administration, d’une organisation dirigée par la présidente-directrice générale et d’une commission indépendante, exige une attention continue pour s’assurer que les trois piliers de sa structure fonctionnent ensemble afin de remplir efficacement son mandat.
En ce qui concerne l’environnement extérieur, la Commission surveillera un certain nombre de questions, dont l’incidence des politiques de réduction du carbone sur l’infrastructure énergétique réglementée par la Régie, le cheminement du Canada vers la Réconciliation avec les peuples autochtones et les progrès du pays dans sa transition énergétique. Bien que les facteurs externes continuent d’évoluer, le mandat de la Commission demeure le même : assurer la livraison sécuritaire et efficace de l’énergie, au pays et à l’étranger, la protection de l’environnement, ainsi que la reconnaissance et le respect des droits des peuples autochtones du Canada, maintenant et dans les années à venir.